Tea Tree
Tea tree ou Arbre à thé
Procédé d’obtention: Distillation complète par entraînement à la vapeur d’eau
Organe distillé: rameaux feuillés
Nom botanique: Melaleuca alternifolia
Un peu d’histoire:
Le nom anglais de la plante, tea tree (arbre à thé) vient du capitaine Cook qui employa les feuilles en infusion
pour en faire une boisson semblable au thé. En fait, le melaleuca n’a, d’un point de vue botanique,
aucun lien de parenté avec le thé (Camelia sinensis).
Le genre Melaleuca compte quelque 150 éspèces d’arbres et d’arbustres, plus connues sous les noms d’arbres à thé ou,
plus rarement, de myrtes à miel. Leur nom scientifique vient du grec melas (noir) et leukos (blanc):
en effet, l’écorce est foncée sur le tronc et les branches anciennes, alors qu’elles est blanche sur les jeunes rameaux.
Melaleuca alternifolia et Melaleuca leucadendron sont deux éspèces parmi les plus connues et se rencontrent principalement en Asie du Sud-Est
Ces deux plantes fournissent une huile aromatique aux vertus médicinales.
– La première est un arbuste d’aspect délicat, réputé pour ses propriétés médicinales.
l’huile essentielle de melaleuca alternifolia est bien connue pour son action antiseptique et pour ses effets bénéfiques sur les désagréments
causés par les germes responsable des mycoses. Elle favorise aussi la transpiration et les rejets des sécrétions des voies respiratoires.
– La seconde est un grand arbre aux larges feuilles connu aussi sous le nom de « cajeput ».
Malaleuca leucadendron produit une huile essentielle à l’arôme camphré et aux effets plus stimulants.
Elle est utilisée pour traiter les infections des voies respiratoires et soulager la douleur, notamment les maux de dents.
Depuis longtemps,les aborigènes d’Australie utilisent l’huile extraite des melaleucas comme remède à toutes sortes de troubles et d’affections.
Les Bundjalung, aborigènes australiens, utilisaient les feuilles broyées pour traiter les blessures et les infections cutanées.
L’eau d’un lagon, dans lequel avaient macéré les feuilles de melaleuca qui y tombaient au fil des ans,
était considérée par ce peuple comme un lieu investi d’un puissant pouvoir thérapeutique.
Ce n’est qu’au début du XXe siècle que le chimiste australien A.R. Penfold décrivit pour la première fois les propriétés antiseptiques de l’huile essentielle
tirée des feuilles par distillation à la vapeur d’eau. Au cours des années 1920, on commença à employer l’huile essentielle en chirurgie et en dentisterie
pour prévenir ou combattre les infections de la peau et des muqueuses.
En 1930, un chirurgien de Sydney publiait dans le Medical Journal of Australia une étude de cas relatant l’efficacité de l’huile essentielle pour nettoyer
les plaies chirurgicales; en 1933, un article sur l’emploi de l’huile essentielle comme désinfectant paraissait dans le British Medical Journal.
Durant la Seconde Guerre mondiale, on la considérait comme une substance essentielle pour le traitement des infections, au point que les cueilleurs
de feuilles de melaleuca et les fabricants d’huile essentielle furent dispensés du service militaire en Australie.
c’est une extraordinaire ressource naturelle pour notre santé. Des recherches scientifiques et médicales ont reconnu les vertus thérapeutiques nombreuses:
Antibactérien majeur à large spectre, antiviral, antiparasitaire, antiasthénique et neurotonique, immunostimulant, décongestionnant veineux,
antispasmodique de l’huile essentielle de tea tree, quand il s’agit de soigner: aphtes, abcès, gingivites, candidoses, infections O.R.L., infections gynécologiques,
piqûres d’insectes, urinaires et cutanées, fatigue, jambes lourdes … indispensable !!!
On comprend que l’huile de Melaleuca est de plus en plus largement utilisée, au contact de la peau et des muqueuses, dans la composition de produits d’hygiène et cosmétiques.
Conditions de conservation: au sec, à l’abri de la chaleur et de la lumière
Principaux constituants biochimiques:
Oxydes terpéniques: 1,8-cinéole (6.75%)
Monoterpènes: gamma-terpinène (18.99%), alpha-terpinène (7.94%), terpinolène (3.31%), para-cymène (4.40%), alpha-pinène (2.45%), limonène (1.38%), sabinène (0.14%)
Monoterpénols: terpinèn-4-ol (41.23%), alpha-terpinéol (3.22%)
Sesquiterpènes: aromadendrène (0.94%), lédène (1.11%)
Sesquiterpénols: globulol (0.27%), viriflorol (0.13%)
Propriétés:
– Antibactérien majeur à large spectre
– Antiviral puissant
– Antiparasitaire et antifongique très efficace
– Antiasthénique et neurotonique
– Immunostimulant puissant
– Décongestionnant veineux et lymphatique
– Radioprotecteur
– Antispasmodique
Indications:
– Infections buccales: aphtes, abcès, gingivites
– Infections O.R.L.: otites, sinusites, angines, rhinopharyngites
– Infections gynécologiques: leucorrhées, vaginites, salpingtes
– Infections urinaires: cystites, urétrites
– Parasitoses cutanées: gale, teigne
– Parasitoses intestinales: lamblia, ascaris
– Abcès cutané, acné juvénile, acné rosacée, eczéma
– Asthénie, épuisement général, fatigue cérébrale et cardiaque
– Varices, jambes lourdes, hémorroïdes
– Prévention de brûlure cutanée par radiothérapie
Usage externe:
– 3 à 4 gouttes en massage en regard de l’organe concerné ou localement pour les dermatoses,
– Pour la fatigue, en massage le long de la colonne vertébrale et sur la face interne des poignets,
– En diffusion, en mélange avec d’autres huiles, pour la prévention des rhumes et infections respiratoires.
Synergies:
Laurier Noble (antifongique)
Niaouli (radioprotectrice)
Lavande Aspic (cicatrisante)
Origan compact (antibactérien majeur)
Clou de girofle (antiparasitaire)
Romarin à verbénone (mucolytique)
Myrte à cinéole (expectorante)
Palmarosa (antifongique)
Procédé d’obtention: Distillation complète par entraînement à la vapeur d’eau
Organe distillé: rameaux feuillés
Nom botanique: Melaleuca alternifolia
Un peu d’histoire:
Le nom anglais de la plante, tea tree (arbre à thé) vient du capitaine Cook qui employa les feuilles en infusion
pour en faire une boisson semblable au thé. En fait, le melaleuca n’a, d’un point de vue botanique,
aucun lien de parenté avec le thé (Camelia sinensis).
Le genre Melaleuca compte quelque 150 éspèces d’arbres et d’arbustres, plus connues sous les noms d’arbres à thé ou,
plus rarement, de myrtes à miel. Leur nom scientifique vient du grec melas (noir) et leukos (blanc):
en effet, l’écorce est foncée sur le tronc et les branches anciennes, alors qu’elles est blanche sur les jeunes rameaux.
Melaleuca alternifolia et Melaleuca leucadendron sont deux éspèces parmi les plus connues et se rencontrent principalement en Asie du Sud-Est
Ces deux plantes fournissent une huile aromatique aux vertus médicinales.
– La première est un arbuste d’aspect délicat, réputé pour ses propriétés médicinales.
l’huile essentielle de melaleuca alternifolia est bien connue pour son action antiseptique et pour ses effets bénéfiques sur les désagréments
causés par les germes responsable des mycoses. Elle favorise aussi la transpiration et les rejets des sécrétions des voies respiratoires.
– La seconde est un grand arbre aux larges feuilles connu aussi sous le nom de « cajeput ».
Malaleuca leucadendron produit une huile essentielle à l’arôme camphré et aux effets plus stimulants.
Elle est utilisée pour traiter les infections des voies respiratoires et soulager la douleur, notamment les maux de dents.
Depuis longtemps,les aborigènes d’Australie utilisent l’huile extraite des melaleucas comme remède à toutes sortes de troubles et d’affections.
Les Bundjalung, aborigènes australiens, utilisaient les feuilles broyées pour traiter les blessures et les infections cutanées.
L’eau d’un lagon, dans lequel avaient macéré les feuilles de melaleuca qui y tombaient au fil des ans,
était considérée par ce peuple comme un lieu investi d’un puissant pouvoir thérapeutique.
Ce n’est qu’au début du XXe siècle que le chimiste australien A.R. Penfold décrivit pour la première fois les propriétés antiseptiques de l’huile essentielle
tirée des feuilles par distillation à la vapeur d’eau. Au cours des années 1920, on commença à employer l’huile essentielle en chirurgie et en dentisterie
pour prévenir ou combattre les infections de la peau et des muqueuses.
En 1930, un chirurgien de Sydney publiait dans le Medical Journal of Australia une étude de cas relatant l’efficacité de l’huile essentielle pour nettoyer
les plaies chirurgicales; en 1933, un article sur l’emploi de l’huile essentielle comme désinfectant paraissait dans le British Medical Journal.
Durant la Seconde Guerre mondiale, on la considérait comme une substance essentielle pour le traitement des infections, au point que les cueilleurs
de feuilles de melaleuca et les fabricants d’huile essentielle furent dispensés du service militaire en Australie.
c’est une extraordinaire ressource naturelle pour notre santé. Des recherches scientifiques et médicales ont reconnu les vertus thérapeutiques nombreuses:
Antibactérien majeur à large spectre, antiviral, antiparasitaire, antiasthénique et neurotonique, immunostimulant, décongestionnant veineux,
antispasmodique de l’huile essentielle de tea tree, quand il s’agit de soigner: aphtes, abcès, gingivites, candidoses, infections O.R.L., infections gynécologiques,
piqûres d’insectes, urinaires et cutanées, fatigue, jambes lourdes … indispensable !!!
On comprend que l’huile de Melaleuca est de plus en plus largement utilisée, au contact de la peau et des muqueuses, dans la composition de produits d’hygiène et cosmétiques.
Conditions de conservation: au sec, à l’abri de la chaleur et de la lumière
Principaux constituants biochimiques:
Oxydes terpéniques: 1,8-cinéole (6.75%)
Monoterpènes: gamma-terpinène (18.99%), alpha-terpinène (7.94%), terpinolène (3.31%), para-cymène (4.40%), alpha-pinène (2.45%), limonène (1.38%), sabinène (0.14%)
Monoterpénols: terpinèn-4-ol (41.23%), alpha-terpinéol (3.22%)
Sesquiterpènes: aromadendrène (0.94%), lédène (1.11%)
Sesquiterpénols: globulol (0.27%), viriflorol (0.13%)
Propriétés:
– Antibactérien majeur à large spectre
– Antiviral puissant
– Antiparasitaire et antifongique très efficace
– Antiasthénique et neurotonique
– Immunostimulant puissant
– Décongestionnant veineux et lymphatique
– Radioprotecteur
– Antispasmodique
Indications:
– Infections buccales: aphtes, abcès, gingivites
– Infections O.R.L.: otites, sinusites, angines, rhinopharyngites
– Infections gynécologiques: leucorrhées, vaginites, salpingtes
– Infections urinaires: cystites, urétrites
– Parasitoses cutanées: gale, teigne
– Parasitoses intestinales: lamblia, ascaris
– Abcès cutané, acné juvénile, acné rosacée, eczéma
– Asthénie, épuisement général, fatigue cérébrale et cardiaque
– Varices, jambes lourdes, hémorroïdes
– Prévention de brûlure cutanée par radiothérapie
Usage externe:
– 3 à 4 gouttes en massage en regard de l’organe concerné ou localement pour les dermatoses,
– Pour la fatigue, en massage le long de la colonne vertébrale et sur la face interne des poignets,
– En diffusion, en mélange avec d’autres huiles, pour la prévention des rhumes et infections respiratoires.
Synergies:
Laurier Noble (antifongique)
Niaouli (radioprotectrice)
Lavande Aspic (cicatrisante)
Origan compact (antibactérien majeur)
Clou de girofle (antiparasitaire)
Romarin à verbénone (mucolytique)
Myrte à cinéole (expectorante)
Palmarosa (antifongique)